L’écorchure des petits deuils

Quand un être cher meurt, on réalise tout ce qu’on faisait « pour lui ». À quel point sa présence dans notre vie influençait nos gestes quotidiens, parfois même de façon inconsciente…

Écrire pour mon blogue…

Photographier une fleur…

Annoncer une nouvelle…

Partager mes impressions sur ma dernière lecture…

C’est dans ces petits détails, autant que dans les fêtes manquées, que l’absence nous fait mal…

Perdre la personne à qui l’on « parle » dans nos textes narratifs qui demandent, pour s’écrire, plus de motivation que d’inspiration, c’est un autre deuil à faire. Comme mon texte d’hier sur notre weekend de Pâques.

Heureusement, Maman Fleurette et Grand-Papa Paul sont toujours au rendez-vous ! Et un jour, nos filles pourront relire les détails des fêtes qui ont marqué leur vie.

Lyne
Maman, spécialiste en finances personnelles, blogueuse.

4 Comments

  1. J’ai commencé à bloguer pour communiquer plus facilement avec Bénou, malade… Elle est partie il y a 6 ans et je continue à écrire pour elle, aussi…

  2. Tu partage mon quotidien depuis plusieurs années déja; te lire me fais souvent voir la vie d’une autre façon; d’une meilleure façon. J’espère que lire encore souvent.

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